Michel
FERNEZ
appelé du contingent 65 1/C
Brigadier-chef
Compagnie de Commandement et des Services
Service du Matériel (MAT/DSM)
Médaille
de la Défense nationale échelon bronze
avec agrafes « défense » et « essais nucléaires
»
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1964 : Conseil de révision à Versailles (Seine-et-Oise)
3 au 5 novembre 1964 : Participation aux opérations de sélection au centre de Cambrai (Nord) caserne Mortier
5 mai 1965 : Affectation au Centre d’Instruction du Train 152 Quartier Foch à Semilly-sous-Laon (Aisne)
27 mai 1965 : Obtention permis V.L.-P.L.
22 octobre 1965 : gare du Nord > gare de Lyon > gare St Charles à Marseille > camp de transit Sainte-Marthe
23 octobre 1965 : VAM Istres-Reggan (via In Amguel) - 3ème Groupe de Transport à Reggan
21 juin 1966 : Visite de libération
22 juillet 1966 : VAM Reggan-Le Bourget
23 juillet 1966 au 31 août 1966 : Congé fin de service
1er septeembre 1966 : Rayé des contrôles
28 novembre 1973 au 30 novembre 1973 : Période de réserve obligatoire au Centre Mobilisateur 19 - CP Linas-Montlhéry (Essonne)
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Conseil de révision à Versailles (Seine-et-Oise)
Octobre 1964
Le conseil de révision était une institution qui, durant de très nombreuses années, a concerné tous les jeunes gens de notre pays. C’était symboliquement le passage de l’adolescence à l’âge adulte. Durant l’année de leurs 18 ans, les garçons étaient convoqués au chef-lieu du canton, où ils passaient devant une commission, composée de médecins, militaires et des maires du canton, qui les déclaraient aptes ou non à effectuer leur service militaire.
Le Conseil de révision 1967 fut le dernier et ce furent les classards nés en 1948 qui l’enterrèrent définitivement en passant sous sa toise !. En effet, la loi du 9 juillet 1965 entérinera le déclin du conseil de révision au profit des centres de sélection.
En 2001 (loi no 97-1019 du 28 octobre 1997), la conscription est arrêtée au profit d'un « parcours citoyen » pour les jeunes, hommes et femmes, à partir de leur seizième anniversaire. Le service national est remplacé par un service volontaire pour une durée variant de un à cinq ans.
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Centre de sélection n° 2 de Cambrai (Nord)
caserne Mortier du 3 au 5 novembre 1964
La présence de nombreuses garnisons est une permanence tout au long de l'histoire de Cambrai. La caserne Mortier, autrefois quartier de cavalerie, est construite à la fin du XVIIIe siècle et peut abriter plus de 1100 hommes et 600 chevaux.
Le Centre Sélection numéro 2 est ouvert le 1er juillet 1954. Il restera, pour plusieurs générations d'appelés du contingent des régions nord de la France, la « caserne des trois jours ». Pas moins de 2 300 000 jeunes y sont passés en provenance de six départements : le Nord, le Pas-de-Calais, la Somme, l’Aisne, l’Oise et la Seine-Maritime. 1975 a été l’année où le Centre a vu passer son millionième jeune. L'effectif moyen était de 300 personnes. La particularité du Centre de Sélection était d’y trouver des représentants des trois armes : de Terre, de l’Air et la Marine.
La fermeture du C.S.2, suite à l’abandon de la conscription, mit fin le 30 juin 2000 à 400 ans d’occupation militaire à Cambrai.
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Construite dès 1913, la caserne Foch a marqué le quartier de Semilly à Laon. Ces bâtiments ont vu passer des milliers d’appelés avant d’être abandonnés par l’armée et acquis par le Département.
Le 152ème centre d’instruction du Train (CIT152) a stationné au quartier Foch de février 1956 (création) à août 1966 (dissolution).
En 1966, le 402ème régiment d’artillerie anti-aérienne, en provenance des FFA, s’est installé au Quartier Foch.
Voir Je me souviens par Roland DIONET
La
chambrée |
18
août 1965 à Chermizy-Ailles (Aisne) |
F.R.A.C.
Formation Rationnelle Accélérée du Conducteur
27
mai 1965 : Obtention des permis V.L.-P.L.
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DISTRICT
DE TRANSIT INTERARMÉES MÉDITERRANÉE
Camp
Sainte-Marthe (DTIM)
à Marseille (Bouches-du-Rhône)
22
octobre 1965
Dès le début de la première guerre mondiale l’état major des armées s’enquiert de nouveaux terrains ou domaines à des fins militaires sur le territoire national. En 1915 le camp de Sainte-Marthe est acquis par ordre de réquisition du domaine à caractère viticole de « La Pioche » (appelé aussi Bois Noël). Il comprend alors un bâtiment d’un étage, surnommé « le château » et de nombreuses dépendances. Les armées étant intéressées par sa situation géographique, sa proximité des ports, sa desserte ferroviaire et sa superficie de 23 hectares permettant un grand hébergement de troupe. Des baraquements sont construits afin d’abriter les troupes en partance pour l’Orient ou le front nord-est. Ainsi débute la mission de transit dévolue à ce camp qui perdurera pendant un siècle.
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Voie Aérienne Militaire
Istres-Reggan (avec escale à In Amguel)
en Douglas DC 6 le 23 octobre 1965
Après une courte nuit, le 23 au petit matin, départ en camion pour Istres où nous embarquons avec d'autres militaires à bord d'un Douglas DC 6 qui met le cap sur In-Amguel.
Après une escale, le temps de débarquer ceux qui restaient sur In-Amguel, nous ne sommes plus que quelques-uns qui décollons vers Reggan.
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3ème Groupe de Transport à Reggan
du
23 octobre 1965
au
22 juillet 1966
Voir l'historique du 3ème Groupe de Transport
Atterrissage à la base aérienne de Reggan-plateau vers 16h/17h (heure locale), accueil, et une « gazelle » nous amène au 3ème Groupe de Transport à Reggan-Ville au Bordj des Sénégalais, c'est un samedi.
Nous sommes logés prosoirement dans une chambre (plafond vouté) près du PC et de l'infirmerie.
Le lundi 25octobre 1965 : affectation à la Compagnie de Commandement et de Services au Service du Matériel (MAT/DSM) sous le commandement de l’adjudant Jean BERNARD.
20
Qu'il est beau le GBO ! |
21
Pierre CARLIER Michel FERNEZ & William FARCY |
22
Parc des GBO |
23
Michel FERNEZ & Pierre CARLIER |
81
82 La cour du PC
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24
Devant la stèle au pied du mât des couleurs |
25
Le poste de police |
30
Le bordj de la CCS |
28
Noël 1965 |
26
Avec ETIENNE le coiffeur |
27
Au bordj de la CCS |
29
Méchoui au bordj Estenne |
48
La place d'Armes |
31
Aux abords du poste de police |
47
Reggan-Ville vue du champ de tir |
44
45 46 À la 12,7 avec Henri CASTEL
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32
La borne kilométrique |
33
Entrée du bordj des Sénégalais |
34
Aux abords du cantonnement |
35
Le mirador |
39
36 37 42 Le 14 juillet 1966
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41 38 40
Le 14 juillet 1966
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43 * |
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Les
distractions à Reggan
99
Cinéma en plein air |
100
& 101 Reggan-Plateau : Cinéma couvert
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102
103 104 Reggan-Plateau : Piscine
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En balade à Colomb-Béchar
Béchar est située dans le sud-ouest de l'Algérie à 80 km de la frontière marocaine, à 980 km de la capitale Alger, à 600 km de la mer et à 952 km de Tindouf, Béchar a une superficie de 5 050 km2 (dont plus de 2 000 hectares de terres agricoles. Elle est entourée d'une chaîne de montagne à savoir : Djebel Antar 1 953 m, Djebel Grouz 1 835 m, Djebel Bechar 1 206 m) et culmine à une altitude de 784 mètres.
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Sur la piste |
50
51 Le bivouac
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53
54 Pont « Bailey » sur l’oued Guir à Abadla
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Voie ferrée pour "la Rafale" |
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La cathédrale |
57
La cathédrale |
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La Mosquée |
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La Poste |
60
Entrée de ? |
61
62 63 64 Vues de Béchar |
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En balade à Adrar et Tamantit
Adrar (dont le nom signifie « montagne » en berbère) est une ville saharienne de l'Algérie, chef-lieu de la wilaya du même nom dans la région de Gourara.
Principales villes de la wilaya d'Adrar: Bordj-Badji Mokhtar - Reggan - Timimoun
65Sur
la piste Reggan - Adrar * |
66
67 52 Sur la piste Adrar - Tamentit
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68
Entrée d'Adrar |
69
Adrar Assistance médicale du Touat |
70
Adrar |
71
Place Laperrine |
72
73 74 75 Tamantit |
Adrar
Adrar est une commune de la wilaya homonyme, dont elle est le chef-lieu, située à 1 400 km au sud-ouest d’Alger.
Situation
Le territoire de la commune d’Adrar se situe au centre-nord de la wilaya dont elle est le chef-lieu. La ville d'Adrar est située à environ :
- 600 km au sud-est de Béchar, par la route, et 429 km à vol d’oiseau ;
- 1 200 km à l’est de Tindouf, par la route, (via Béchar) et 777 km à vol d’oiseau ;
- 1 400 km au sud-ouest d’Alger, par la route et 1 087 km à vol d'oiseau
Climat
Adrar a un climat désertique chaud typique de la zone saharienne hyperaride, c’est-à-dire du cœur du Sahara, avec un été torride, très long et un hiver court, tempéré chaud. Le climat, hyperaride, est celui d'un désert absolu, puisque la moyenne annuelle des précipitations atteint à peine 14-15 mm, tombant essentiellement en automne ou au printemps.
Les températures moyennes maximales sont de 46-48 °C en juillet (le mois le plus chaud), ce qui fait d’Adrar une des villes les plus chaudes du monde.
Le nombre moyen de jours où le mercure dépasse la barre des 40 °C est de l'ordre de 130 jours par an. Les températures restent élevées en hiver, mais seulement la journée, car, dans les étendues désertiques, il n'y a rien pour retenir la chaleur et températures minimales moyennes avoisinent 7 °C. Le ciel est clair, le soleil omniprésent, le beau temps perpétuel. L'irradiation solaire figure parmi les plus élevées au monde et la durée moyenne de l’insolation est environ de 3 978 heures par an. Le rapport en pourcentage entre la durée du jour et la durée d’ensoleillement annuelle y dépasse 90 %. La température moyenne journalière annuelle est de 26-27 °C à Adrar.
L'humidité relative est exceptionnellement faible toute l'année avec une moyenne annuelle d'environ 24 %, et particulièrement en saison chaude où le degré hygrométrique de l'air descend souvent en dessous de 5%.
Tamantit
Le territoire de la commune de Tamantit se situe au centre de la wilaya d'Adrar. Son chef-lieu est situé à 13 km au sud d'Adrar par la route.
L’oasis de Tamantit est très ancienne, elle daterait de 7 années avant l’hégire et aurait été habitée à l’époque pharaonique.
Sa foggara serait construite par les coptes, dont il subsiste encore une foggara dénommée Hannou qui porterait le nom de leur dieu.
Une foggara est une canalisation souterraine construite pour alimenter les jardins dans les palmeraies, lorsqu’il n’est pas possible de creuser des puits. Elle peut avoir un développement de 2 à 10, voire 15 kilomètres. Les canalisations suivent une pente légère (quelques millimètres de dénivelé par mètre) et courent à environ 5 ou 10 mètres sous la surface du sol. La foggara proprement dite a un diamètre suffisant (1 m à 1,20 m) pour permettre le déplacement d’un homme courbé, travailleur progressant d’aval en amont au moment du percement , et ouvrier circulant pour effectuer des travaux d’entretien.
Source : Wikipédia
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Voie Aérienne Militaire
Reggan - Le Bourget
en Noratlas le 22 juillet 1966
Reggan-Plateau
|
Le
Bourget |
Le 2ème
peloton a accompagné le contingent 65 1/C au départ du Noratlas
voir le regard pensif des tringlots, la prochaine fois, ou la suivante, ce
sera nous.
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Période
de réserve obligatoire
au Centre Mobilisateur 19 - CP Linas-Montlhéry (Essonne)
du 28 novembre 1973 au 30 novembre 1973
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